Similaires
-
Ce que le conflit en Ukraine m'apprend sur la cybersécurité
-
Zoos d'Ukraine : qu'arrive-t-il à tous les animaux ?
-
Google a demandé à ses traducteurs russes de ne pas faire référence à une "guerre" en Ukraine
-
Guerre en Ukraine. Conscrits et familles de soldats pourraient être le talon d’Achille de Poutine
-
Deux Ukrainiens, l’un à Kiev, l’autre en fuite, racontent la guerre au quotidien
Plus de 10.000 étudiants provenant de pays arabes parmi lesquels de nombreux Marocains et Egyptiens, se sont retrouvés pris au piège du conflit en Ukraine, et leur rapatriement est un casse-tête pour leurs gouvernements. La Tunisie, qui ne dispose pas d’ambassade en Ukraine, va envoyer en Pologne et en Roumanie des avions pour rapatrier ses ressortissants qui souhaitent partir parmi les 1.700 vivant en Ukraine, dont 80% d’étudiants. L’ambassade d’Egypte a recensé 6.000 ressortissants dont plus de la moitié sont des étudiants en majorité inscrits à Kharkiv. Elle affirme coordonner l’évacuation des étudiants égyptiens vers la Roumanie et la Pologne. Le Maroc, la Tunisie et la Libye ont également assuré préparer la sortie de leurs ressortissants vers des pays limitrophes.
L’Algérie, qui compte un millier d’étudiants en Ukraine et est liée à la Russie par des accords militaires, s’est distinguée en n’appelant pas à ses ressortissants à quitter le pays.
L’Algérie, qui compte un millier d’étudiants en Ukraine et est liée à la Russie par des accords militaires, s’est distinguée en n’appelant pas à ses ressortissants à quitter le pays.